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F
Une des 10 classes spectrales dans la typologie définie par l'observatoire de Harvard.
Les étoiles de type F sont de couleur blanche-jaune avec une température de surface comprise entre 6 000 et 8 000 kelvins. On y retrouve surtout les raies du titane et du fer ionisés (Ti II et Fe II) (exemple : Procyon dans le Petit chien).
Tableau du classement spectrale
Facule
Région brillante apparaissant sur la photosphère du Soleil et plus facilement observable à l'approche du limbe. Elle précède généralement l'apparition d'une tache solaire.
Flamant
La constellation disparue « Phœnicopterus » aurait une origine espagnole, elle était placée près de l'actuel Poisson austral.
FLAMMARION Nicolas Camille Flammarion (Montigny-le-Roi, 1842  - Juvisy-sur-Orge, 1925)
Portrait de FLAMMARION Nicolas Camille Flammarion Camille Flammarion étudie l'impact du Soleil sur les plantes ainsi que le cycle solaire. Il démontre que les taches solaires apparaissent au moment où l'activité est à son maximum. à l'Observatoire de Juvisy-sur-Orge, il embauche Eugène Antoniadi avec qui il étudie la planète Mars et ses « canaux ». Il publie également en 1878 un Catalogue des étoiles doubles et multiples en mouvement relatif certain.




FLAMSTEED John (Derby, 1646 - Greenwich, 1719)
Portrait de John FLAMSTEED L'anglais John FLAMSTEED fut le premier astronome royal et le premier directeur de l'observatoire de Greenwich. Dans son catalogue répertoriant 2 866 étoiles : Historia Cœlestis Brittanica, paru en 1712, il est également l'instigateur d'une nomenclature basée sur un système de numérotation par ascension droite. Ce « nombre de Flamsteed », encore largement usité, est suivi du sigle officiel de la constellation ; ainsi, par exemple, l'étoile Alpheratz ou α (alpha) d'Andromède devient 21 And.
Ce catalogue contient également une surprise de taille : l'étoile 34 Tau, répertoriée le 23 décembre 1690, n'était autre que... la planète Uranus !
La découverte réelle ne reviendra à William Friedrich Wilhelm HERSCHEL que près d'un siècle plus tard, le 13 mars 1781. Autre découverte, officielle celle-là, la nébuleuse de la Lagune (M 8) en 1680.
Un cratère lunaire de 21 km de diamètre porte son nom (04.5 °S - 44.3 °O).
Flash Iridium
Flash Iridium Un flash Iridium (en anglais Iridium flare) est un phénomène lumineux produit par la réflexion de la lumière du Soleil sur l'une des surfaces réfléchissantes (antennes ou parfois panneaux solaires) d'un des satellites Iridium.
Un observateur peut alors percevoir un flash dans la direction du satellite, relativement bref et potentiellement très intense. L'éclat du satellite apparaît d'abord assez faible, pour augmenter progressivement jusqu'à un maximum d'intensité, puis diminuer jusqu'à ne plus être visible. L'image du phénomène sur une photographie à pose longue est un fuseau lumineux du fait du déplacement rapide du satellite sur la voûte céleste.
La fin de vie de ces satellites est prévue pour début 2020.
Flèche
L'une des plus petites constellations de tout le ciel. L'astérisme est cependant assez facile à repérer au sud-est de la Lyre. Son sigle est Sge (Sagitta).
Fleur de lys
Éphémère constellation créée par le français Augustin ROYER (16xx - 16xx), architecte du roi Louis XIV, qui remplaça la constellation de la Mouche (créée par un anglais au nord-est du Bélier) par une fleur, celle des armoiries de France : le Lys. Cet élan patriotique est resté sans lendemain.
Fond diffus cosmologique
Fond diffus cosmologique C'est le nom donné au rayonnement électromagnétique issu de l'époque dense et chaude qu'a connue l'Univers par le passé : le Big-Bang. Bien qu'issu d'une époque très chaude, ce rayonnement a été dilué et refroidi par l'expansion de l'Univers et possède désormais une température très basse de 2,726 K (-267,424°C).

Carte de la sphère céleste montrant les fluctuations du fond diffus cosmologique observées par le satellite WMAP en 2003.

Force de marée
La force de marée est une conséquence de la force de gravitation exercée sur un corps par l'ensemble des astres qui l'entourent. Pour nous cette force est engendrée surtout par La Lune, ce qui nous donne des forces de marées non uniformes.
Sur terre les marées agissent dans le système terre-Lune-Soleil.
  • Marée océanique : C'est un grand mouvement des masses océaniques soumises à la gravitation lunaire et, dans une moindre mesure à celle du Soleil. L'amplitude théorique des marées océaniques est d'environ 1 mètre à l'équateur, mais leur valeur réelle diffère considérablement d'abord par un phénomène complexe de résonance et par la topologie des lieux.
  • Marée atmosphérique : La marée atmosphérique est peu observable, noyée par les effets beaucoup plus importants dus à la météo et aux marées thermiques solaires.
  • Marée terrestre : La croûte terrestre se déforme régulièrement de manière peu perceptible en fonction des mouvements lunaires. L'amplitude des marées terrestres serait de 50 cm suivant une dimension radicale et de 15 cm seulement dans un plan horizontal.
    Ces déformations quotidiennes entrainent des fragilités de la croûte terrestre, ce qui peut déclencher des tremblements de Terre (À l'étude actuellement).

    Dossier de P.Melchior et B.Ducarme.
Fourneau
« Fornax Chemica » est une petite constellation australe. Elle abrite un amas de galaxies se superposant partiellement sur la constellation limitrophe de l'Éridan. Son sigle est For (Fornax).

Crédits photographiques : NASA/ESA

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